Accompagnement Pleine Conscience
Ateliers de Gestion du Stress
-
Accompagnement à la Pleine Conscience
Quelques textes, réflexions, citations, méditations, piochées ici et là...
Pour nourrir son inspiration, pour nous aider dans notre démarche de transformation.
"Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses, ce sont les jugements qu'ils portent sur les choses".
Epictète (v. 55-v. 135)
Les textes lus pendant les ateliers
Le Roi et les 3 fils & l'Auberge
Les bonnes & mauvaises graines
Les Méditations guidées pendant les ateliers
Le texte de la méditation de la compassion
Les séances de Yoga pendant les ateliers
Séance de Yoga en pleine conscience
Simple mais pas facile... de Jon KABAT-ZINN
Si la pratique de la pleine conscience paraît simple, ce n'est pas nécessairement facile.
Le conte de la voie du juste milieu
Un jour que Bouddha méditait sous un arbre en cherchant l’éveil, voici que passent deux musiciens avec leurs cithares, cette harpe indienne aux sons mélodieux. Ceux-ci s'assoient au pied de l'arbre et ajustent leurs instruments.
L'un des deux, le plus expérimenté à l'évidence, donne à l'autre ce sage conseil : « Ne tends pas trop les cordes : elles risqueraient de casser. Mais ne les laisse pas trop lâches non plus : elles ne vibreraient plus suffisamment. Observe le juste milieu." »
Bouddha comprit alors que ces paroles étaient dites pour lui. Il abandonna ses austérités et suivit la voie de la sagesse et de la modération : la Voie du juste Milieu.
Durant votre pratique de pleine conscience, vous pouvez peut-être explorer cette voie du milieu en considérant les différents domaines de votre vie comme les cordes de l’instrument dont vous jouez tous les jours (par exemple : la santé physique, la santé émotionnelle, les relations sociales, la spiritualité, la sérénité financière, la satisfaction au travail, le temps libre, l’expression de soi…). Et peut-être pourriez-vous prendre quelques minutes afin d’explorer quels domaines ont besoin d’être « retendus » et lesquels ont besoin d’être « détendus » ?
Je cherche qui je suis
Nous tentons de nous trouver. Je me cherche.
Le « je », le me, le moi n’est pas loin, n’est pas perdu, il est juste à l’intérieur de nous !
Je suis celui qui est à l’intérieur de moi. Pour savoir qui je suis, il faut s’arrêter, s’assoir et s’écouter. Le chemin qui me mènera jusqu’à mon moi intérieur est le souffle. Je peux suivre ma respiration jusqu’au cœur de mon être.
Par une respiration conscience, dans le ressenti et la non-pensée. Juste vivre ma respiration qui me mènera à mon identité véritable, celle qui m’est propre et non celle que je m’évertue à montrer aux autres ou celle qui est constamment remise en question en fonction du regard d’autrui.
Je dois m’accueillir dans l’instant présent tel que je suis, sans préjugés, sans influences extérieures. Quand je peux enfin être en lien avec moi-même, je peux ressentir cette sérénité de l’harmonie de la nature, de l’univers.
Je vis pleinement l’instant présent avec l’entièreté de mon moi intérieur.
Ma vraie nature
Dès que j'ai appris à reconnaître, dès que j'ai approfondi ma propre essence, que j’ai approché mon identité vraie, je deviens moins susceptible de me sentir menacé par les autres, parce que la perception de mon identité repose sur quelque chose de substantiel, à l'intérieur de moi.
Je retrouve mon identité vraie, celle qui fait ma vraie nature et qui donc ne peut-être influencée par les autres, par l'importance que je pourrais placer dans ce regard que l’autre pourrait avoir de moi.
Je me sens ainsi libéré, serein.
Quand je suis en accord avec moi-même, je suis mieux dans mes relations aux autres, et mes relations seront plus vraies.
Le lâcher-prise
Le lâcher prise est l’art d’accepter toutes les choses que la vie nous propose.
Lâcher prise est renoncer à nos résistances intérieures
Si nous sentons que nous nous acharnons, c’est qu’on fait fausse route !
Arriver à trouver le juste milieu entre être persévérant et être dans l’erreur, dans l’acharnement.
Le manque de confiance en soi joue un rôle prédominant.
La solution de notre malaise n’est pas nécessairement de changer du tout au tout. Car adopter les mêmes habitudes reviendrait à recréer la même situation.
Nous pouvons aussi nous sentir mieux dans notre situation en changeant quelques facteurs. Il ne faut pas absolument croire que le mieux serait ailleurs… Que changer alors ? Changer ce que nous ressentons comme toxique pour nous.
Tout d’abord être à l’écoute de soi ! Et alors je saurai au plus profond de moi ce qui me convient et ce que je dois absolument changer/stopper pour retrouver mon équilibre, ma sérénité intérieure.
On peut toujours forcer, tenir le coup, mordre sur sa chique…mais au final ? Pour quoi, pour qui ? Tout ce temps passer la tête dans le guidon, que me rapporte-t-il ? Ce temps pendant lequel je m’oublie ne reviendra plus !
A bannir : Faire toujours mieux, être le meilleur, objectifs, performance …
Rien n’est permanent, tout est en perpétuelle évolution.
Accepter c’est recevoir mais ne veut pas non plus dire approuver
Soyons bienveillant avec nous-mêmes et cela en découlera aussi par rapport aux autres.
Les liens qui nous empêchent d’aller bien, le lâcher-prise nécessite de rompre les liens qui nous attache à notre malaise (liens=pensées, habitudes, comportements)
Quelle est la nature de nos liens ? Saisir la nature de notre mal être.
La chose à nous défaire est celle que nous retenons…
Estime de soi…
Apprécier sa propre compagnie, se sentir bien avec soi-même.
Apprendre à se sourire à soi-même, à s’aimer.
LE lâcher-prise à un effet sur le mental et par conséquent sur son corps et donc sur sa santé.
LE lâcher-prise va permettre de prendre conscience de son moi intérieur, la non-action pour être dans le ETRE et non plus dans le FAIRE.
Accueillir ainsi le CHANGEMENT avec sérénité et confiance.
Lâcher prise c’est aussi se détacher. Prendre du recul. Ne laissons pas nos émotions prendre la place de notre mental, ne laissons pas nos émotions prendre toute la place, ne devenons pas nos émotions. Observons plutôt cette émotion et ce qu’elle provoque chez nous. Sans laisser celle-ci prendre le contrôle de nous-mêmes.
Il n’y a pas de défi à relever, il n’y a pas d’obstacles, il y a des épreuves, des expériences.
Arrêtons-nous de temps en temps, profitons de l’instant présent, là où je suis tout simplement, le temps de quelques respirations en pleine conscience de mon souffle, de mon corps.
Apprécions ces moments de partage avec soi-même et avec la nature, le monde qui nous entoure. Ces moments sont précieux car fugaces et uniques.
Réflexion à travers la pleine conscience :
Une grande partie de notre stress vient d'une menace réelle ou imaginaire envers notre statut social, pas envers notre vie.
Dès que j'aurai appris, dès que j'aurai approfondi ma propre essence, je vais pouvoir approcher mon identité vraie. Je serai alors moins susceptible de me sentir menacé par les autres, parce que la perception de mon identité repose sur quelque chose de substantiel à l'intérieur de moi.
Je retrouve mon identité vraie, celle qui est ma vraie nature et qui donc ne peut être influencée par les autres, par l'importance que je pourrais y placer. Par l'importance que je pourrais placer dans le regard que les autres ont de moi.
Je me sens ainsi libéré, serein.
Quand je suis en accord avec moi-même, je suis mieux dans mes relations aux autres et mes relations seront plus vraies.
La pleine conscience dans le milieu scolaire
Cultiver la pleine conscience tout au long du parcours éducatif :
-
- Améliore la créativité
- Développe la concentration
- Aide à l’apprentissage scolaire
- Permet de renforcer les performances sportives
-
- Elle développe l’intelligence émotionnelle
- Développe la santé mentale et le bien-être chez les enfants.
Les objectifs de l'éducation à la pleine conscience sont d'aider les étudiants à acquérir :
-
- de la confiance en soi, de l’estime de soi et une meilleure conscience de soi
- de l’empathie
- des techniques pour calmer et focaliser l'esprit
- une communication consciente
- des compétences de prise de conscience à la vie de tous les jours
Un monde d'inattention :
Actuellement, nous construisons un monde qui cultive l’inattention des enfants et des adolescents/jeunes adultes.
Le changement des méthodes et de jeux d’enfance par rapport au passé, qui consistent à passer de plus en plus de temps devant un écran, le bombardement médiatique qui en découle et une interaction avec les dispositifs technologiques de plus en plus précoces.
Tout cela ne favorise pas le développement optimal du cerveau, comme le suggère une série d'études :
-
- Ceux qui passent beaucoup de temps (en moyenne plus de deux heures par jour) devant la télévision et les jeux vidéo risquent deux fois plus de développer des problèmes d'attention tels que le trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention (Swing et al.2010).
- L’effet d’une stimulation sensorielle toujours variée et rapide, telle que celle dérivant des contenus dont jouissent les enfants, gêne la concentration dans l’exécution des devoirs scolaires, dans la mesure où ils ne stimulent pas les centres sensoriels de la même manière. De cette façon, le cerveau des enfants est éduqué à l’inattention et à l’impulsivité.
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 236 autres membres